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Les Nouvelles de Yann
26 février 2019

Les enfants Le Pen

Qui sont les enfants de Marine Le Pen ? Et manque rarement de le rappeler. Marine Le Pen a levé un petit coin du voile lors de la dernière campagne présidentielle, indiquant que son fils Louis était "une baraque" passionné par le rugby. France Bleu en avril. La fille de Jean-Marie Le Pen, née dans une famille de trois enfants, trois filles, conserve encore quelques secrets et des blessures dans sa biographie qui resurgissent de temps à autre au détour d'interviews et de confidences. Elle a par exemple connu dès on plus jeune âge le goût du combat politique, mais aussi ses conséquences, comme quand un attentat a désintégré la maison familiale, en 1976, obligeant les Le Pen à déménager et à se protéger. Une expérience qui l'a amenée jusqu'à aujourd'hui à protéger sa vie privée, ses maris, son compagnon Louis Aliot, ou encore ses enfants, tenus à l'écart des médias. La présidente du FN doit tout à son père en politique. C'est dans son sillage qu'elle s'est faite connaître, qu'elle a tissé ses réseaux et qu'elle a appris. Dès l'âge de 13 ans, elle assistait Jean-Marie Le Pen dans une campagne électorale. De son enfance dans le sud de la France, Christophe Castaner ne dit que peu de choses. C’est que les relations avec son père, qui le prenait pour un incapable, étaient compliquées. Mais les deux hommes se sont rapprochés, jusqu’à ce que l’homme fort de la Macronie découvre que son paternel avait l’intention de se suicider. Il est né à Ollioules, dans le Var, et a grandi à Marseille et Manosque. Tout prédestinait donc Christophe Castaner à renouer avec ses racines lorsqu’il s’est présenté - et a gagné de peu - la mairie de Forcalquier. Pourtant, de ses premières années dans le sud de la France, le délégué général de la République en Marche ne garde rien. « Mon enfance n’a pas été malheureuse. Je l’ai zappée. Je ne me souviens même pas d’un Noël », explique l’homme politique de 52 ans au Monde qui lui consacre un portrait. Il a grandi, avec ses deux frères, entre un père, Pierre, ancien fusilier marin et Marie-Claire, mère au foyer. POLITIQUE - Pour les observateurs du monde de la Défense, ce n'est pas forcément le premier nom qui venait à l'esprit. Pourtant, c'est bien Florence Parly qui a été nommée ministre des Armées ce mercredi 21 juin. Cinquième de l'ordre protocolaire du gouvernement Philippe II, la quinquagénaire (54 ans) vient du monde de l'entreprise, après avoir occupé un poste ministériel et exercé dans la haute fonction publique. Florence Parly était jusqu'à aujourd'hui la directrice générale de SNCF Voyageurs. À sa sortie de l'ENA en 1987, elle a intégré la Direction du budget en qualité d'administrateur civil. Elle a notamment travaillé sur le RMI et la CSG. Côté politique, elle adhère au Parti socialiste en 1995 et accédera à des responsabilités deux ans plus tard. En 1997, elle intègre le cabinet du premier ministre Lionel Jospin, qu'elle conseille sur les affaires budgétaires. Un tremplin qui lui permettra d'être nommée secrétaire d'État au Budget trois ans plus tard. Après la défaite de Lionel Jospin en 2002, elle tente une carrière d'élue. Ses liens avec le monde des Armées ne sont pas très évidents au premier abord. Jean-Dominique Merchet, spécialiste Défense pour L'Opinion. Seule piste, elle a à plusieurs reprises travaillé avec Paul Quilès, ex-ministre de la Défense. Mais s’il parle de notre dossier, il doit nous en rendre compte. Cela signifie que, pendant la négociation, Macron avait déjà eu des relations avec Minc, sans nous le dire. Or Minc était le soutien d’une offre qui nous paraissait particulièrement dangereuse, celle de Prisa ! Plus tard, d’autres éléments ont conforté ces très forts soupçons. ] adressé à Xavier Niel, Pierre Bergé et Mathieu Pigasse pour demander un délai de 15 jours supplémentaires de négociations avec les différents repreneurs potentiels, avait en fait été rédigé à l’origine par Alain Minc Conseil, la société de Minc. Or, c’est Emmanuel Macron qui nous avait transmis la trame de ce courrier ! Et d’ailleurs, quand Macron propose de repousser le délai de remise des offres de 15 jours supplémentaires, cela permettait à Prisa de rester encore dans le jeu ! Et au final, j’ai l’impression que Macron roulait pour lui-même. C’est d’autant plus choquant qu’il prétendait rouler pour une cause d’intérêt général. Nous étions pour notre part, élus, bénévoles, et on n’a rien retiré de cette opération qui visait à sauvegarder un groupe de médias indépendants !

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